Préface par Jules Bonnet

Préface par Jules Bonnet d’après l’édition parue en 1854

Peu de jours avant sa mort, dans un des derniers entretiens dont le souvenir nous a été conservé par Théodore de Bèze, Calvin montrant d’une main défaillante ses meubles les plus précieux, c’est-à-dire les manuscrits de sa bibliothèque et les archives de la vaste correspondance qu’il avait entretenue durant un quart de siècle avec les plus grands personnages de l’Europe, demanda que ces documents fussent recueillis par des mains amies, et qu’un choix de ses lettres fût offert aux Eglises réformées comme un témoignage de la sollicitude et de l’affection de leur fondateur1.

Ce vœu du réformateur mourant, gravé dans la mémoire de ses disciples, n’obtint cependant qu’une réalisation tardive et imparfaite au XVIe siècle. Les temps étaient rigoureux, et l’œuvre difficile. La peste qui parut pour la troisième fois à Genève et y compta des milliers de victimes, de grandes catastrophes publiques et privées, le contre-coup des événements douloureux qui se succédèrent en France depuis l’explosion des guerres civiles jusqu’au massacre de la Saint-Barthélemy, les scrupules de l’amitié elle-même accrus par les périls de la cité réformée, tout parut conspirer à l’ajournement, du vœu légué par Calvin à ses amis. — « Sans parler, dit Bèze, des secours étrangers qui m’étaient nécessaires pour le dépouillement d’une correspondance aussi étendue et du temps qu’exigeait un pareil travail, les calamités qui fondirent sur notre ville, les bouleversements qui survinrent dans un pays voisin du nôtre, interrompirent plus d’une fois l’œuvre commencée. De graves difficultés étaient d’ailleurs attachées au choix des lettres en un temps où les esprits inclinent si aisément à l’injustice et à la malignité. Il y a des choses qui peuvent se dire ou s’écrire familièrement dans le commerce d’esprits ingénus et sincères, comme l’était Calvin, qui ne sauraient sans inconvénients être livrées à la publicité. Il fallait tenir compte à la fois dans notre travail des personnes, des temps et des lieux2. » — Ces scrupules d’un disciple respectueux et sincère, préoccupé à la fois des ménagements dus aux contemporains et des égards réclamés par une grande mémoire, paraîtraient déplacés aujourd’hui. Mais leur expression était légitime en un siècle de révolutions et de combats où la parole était un glaive, et où la lutte, souvent cruelle, des opinions, survivant aux hommes, se perpétuait dans leurs écrits.

Toutefois, il faut le reconnaître, malgré tant de difficultés réunies, les amis du réformateur ne faillirent pas à leur devoir. Par leurs soins, les originaux ou les copies d’un grand nombre de lettres adressées en France, en Angleterre, en Allemagne et en Suisse, furent réunis à Genève, et vinrent s’ajouter au précieux dépôt qui leur était confié. Les archives de la cité calviniste reçurent ce trésor, et le gardèrent fidèlement à l’abri de l’orage plus que séculaire qui s’abattit sur les Eglises de France, et détruisit ou dispersa dans l’exil tant de pages de leurs annales. Par un éclatant privilége, Genève, la cité sainte du protestantisme français, l’école de ses docteurs et de ses martyrs, après lui avoir donné ses croyances et son culte, devait lui conserver encore les titres de son histoire. Ces titres sont glorieusement inscrits dans la belle collection de lettres que l’on doit aux soins pieux de quelques réfugiés du XVIe siècle, dont le nom s’est comme perdu dans la gloire de Calvin et de Bèze, mais dont les services ne sauraient être oubliés sans ingratitude. Nommons du moins, avec reconnaissance et respect, Jean de Budé, Laurent de Normandie et surtout Charles de Jonvillers.

C’est à ce dernier qu’appartient principalement l’honneur de la formation du beau recueil épistolaire qui fait aujourd’hui l’ornement de la Bibliothèque de Genève. Issu d’une famille noble des environs de Chartres, poussé au delà des monts par l’irrésistible besoin de confesser les croyances dont il avait accepté l’empire, Charles de Jonvillers trouva dans l’affection de Calvin un dédommagement au sacrifice qu’il venait d’accomplir par le volontaire abandon de sa fortune et de sa patrie. Admis dans l’intimité du réformateur avec les jeunes patriciens, ses compatriotes, qui composaient l’élite du parti réformé, il voua un respect filial, un attachement sans bornes à l’homme puissant dont la foi et le génie façonnant un peuple rebelle, transformaient une obscure cité des Alpes en une des métropoles de l’esprit humain. Il devint son secrétaire, après le jurisconsulte François Baudouin et le ministre Nicolas des Gallars. Il put dès lors l’assister dans les travaux de sa correspondance, le suivre à l’auditoire et à l’académie, et recueillir pendant ses leçons ses lumineux commentaires dédiés aux plus illustres personnages du siècle, et que la théologie moderne n’a point surpassés.

Tel était l’homme que l’affection de Calvin et la confiance de Bèze devaient particulièrement désigner pour l’importante et laborieuse tâche de préparer les matériaux de la publication des lettres du réformateur. Il y porta le zèle d’un disciple et la sollicitude d’un fils qui s’oublie lui-même dans l’accomplissement d’une tâche sacrée, entreprenant de lointains voyages pour obtenir la communication d’une pièce, transcrivant de sa main de nombreuses lettres, et soutenu dans ses recherches par le sentiment d’un devoir fidèlement rempli3. Ce travail commencé de bonne heure, et continué durant vingt années sous le contrôle vigilant de Théodore de Bèze, fut l’origine du recueil de la Correspondance latine de Calvin, publiée pour la première fois en 1575, hommage incomplet mais véridique rendu au réformateur par ses disciples, monument imparfait qui put suffire à la piété d’une génération contemporaine de la Réforme, mais qui ne suffit plus à la curiosité de la nôtre 4.

Trois siècles se sont presque entièrement écoulés, sans rien ajouter à l’œuvre de Jonvillers et de Bèze. Les lettres publiées par leurs soins, sont devenues la source à laquelle ont inégalement puisé les apologistes ou les adversaires de la Réforme, tandis que les nombreux documents inédits conservés à la Bibliothèque de Genève, ou réunis ultérieurement dans les Bibliothèques de Paris et de Gotha, demeuraient oubliés. Il était réservé à nos jours de les tirer d’un injuste oubli, en ouvrant à l’histoire une source féconde et si longtemps ignorée.

C’est ici le lieu de rappeler avec une juste reconnaissance ce que la Correspondance inédite de Calvin doit aux investigations récentes de plusieurs écrivains dont le protestantisme s’honore. Mentionnons particulièrement la Vie de Calvin, par le docteur Paul Henry de Berlin, monument pieux élevé à la gloire du réformateur par un fils du Refuge, et enrichi de nombreuses lettres empruntées aux collections de Genève et de Paris5 ; citons ensuite, après les doctes recherches du professeur Bretschneider, éditeur des lettres conservées à Gotha6, l’important ouvrage de Ruchat, réédité par l’habile continuateur de Jean de Müller, M. le professeur Vulliemin de Lausanne7, avec des appendices étendus qui contiennent de précieux fragments de la Correspondance française de Calvin, reproduits dans la Chronique de M. Crottet8. C’est à ce dernier écrivain qu’est due la découverte et la publication des lettres de Calvin à Louis du Tillet. Ces réserves faites, il doit nous être permis de revendiquer pour nous-méme le privilége d’offrir pour la première fois au public un recueil général et complet de la Correspondance de Calvin dont la majeure partie est essentiellement inédite.

Ce recueil est le fruit de cinq années d’études et de recherches assidues dans les Bibliothèques de la Suisse, de la France et de l’Allemagne. Chargé par le gouvernement français, sous l’administration de Messieurs de Salvandy et de Falloux, d’une mission scientifique qui nous a permis de réunir les premiers matériaux d’une Correspondance dont les plus riches dépôts étaient placés à l’étranger, soutenu dans nos recherches par les plus hautes et les plus bienveillantes sympathies, nous n’avons rien épargné pour compléter une collection qui doit répandre tant de lumières sur l’histoire de la grande révolution religieuse du XVIe siècle.

La Correspondance de Calvin commence dès sa jeunesse, et ne se termine que sur son lit de mort. (Mai 1528—mai 1564.) Elle embrasse donc toutes les phases de sa vie depuis l’obscur écolier de Bourges et de Paris se dérobant par l’exil au bûcher, jusqu’au réformateur triomphant qui peut mourir puisqu’il a vu son œuvre accomplie. Rien ne surpasse l’intérêt de cette Correspondance où se reflètent dans une série de documents aussi variés que sincères une époque et une vie d’une saisissante grandeur, où les effusions familières de l’amitié se mêlent aux graves préoccupations de la science, et aux inspirations magnanimes de la foi. De son lit de souffrances et de labeurs continuels, Calvin suit attentivement le drame de la Réforme dont il marque les triomphes et les revers dans tous les Etats de l’Europe. Investi par le droit du génie d’un apostolat presque universel, il exerce une influence multiple comme son activité. Il exhorte la noble sœur de François 1er, Marguerite de Valois, et le jeune roi d’Angleterre Edouard VI ; il s’entretient avec Bullinger et Mélanchthon, inspire Knox, anime Coligny, Condé, Jeanne d’Albret, la duchesse de Ferrare. Le même homme, usé par les veilles et la maladie, mais s’élevant par l’énergie de l’âme au-dessus des défaillances du corps, terrasse le parti des libertins, pose les fondements de la grandeur de Genève, affermit les Eglises étrangères, fortifie les martyrs, dicte aux princes protestants les conseils de la politique la plus prévoyante et la plus habile, négocie, combat, enseigne, prie, et laisse échapper avec son dernier soupir de grandes paroles que la postérité recueille comme le testament politique et religieux de sa vie.

Ces traits suffisent sans doute à faire apprécier tout l’intérêt qui s’attache à la correspondance du réformateur, héritage commun des peuples émancipés par la Réforme, et que n’a pas cessé de vivifier son esprit monument également imposant de l’histoire et de la littérature de la France au XVIe siècle. Formé à la double école de l’antiquité profane et sacrée, de l’Eglise et du monde, Calvin écrit en latin comme un contemporain de Cicéron et de Sénèque dont il reproduit sans effort la phrase élégante et concise ; il écrit en français comme un des créateurs de cette langue qui lui doit ses plus beaux traits avant Montaigne, comme le précurseur et le modèle de cette grande école du XVIIe siècle qui ne l’a combattu qu’en lui empruntant ses propres armes, et ne l’a point surpassé par la hauteur de la pensée et la majesté sévère du style. Les lettres françaises de Calvin, dignes sœurs de l’immortelle préface de l’Institution chrétienne, offrent d’admirables pages que la France ignore, et que l’éloquence a marquées du sceau le plus glorieux. Elles devaient à ce titre composer un recueil distinct. Détachées de la Correspondance latine qui sera l’objet d’une publication séparée, elles présenteront dans une langue accessible à tous, une série d’études littéraires et morales sur l’écrivain et sur l’homme, une véridique image du réformateur peint par lui-même dans les documents originaux et inédits que nous restituons pour la première fois à l’histoire9.

L’opportunité d’une telle publication né saurait être contestée. Le grand débat toujours pendant entre le Catholicisme et la Réforme se réveille de nos jours avec une vivacité nouvelle. L’attaque provoque la défense, et dans la mêlée des opinions, les droits de la justice et de la vérité sont trop souvent méconnus. Pendant que de nobles esprits, éclairés par les méditations de’l’histoire ou par la comparaison attentive des dogmes qui règlent la vie morale des peuples soumis à l’empire de l’un ou de l’autre culte, s’élèvent à une impartialité supérieure et formulent un jugement plein de lumière qui prépare celui de l’avenir10, les adeptes d’une école tristement connue par la glorification des excès que réprouvent également la religion et la philosophie, n’ont pas assez de malédictions et d’outrages pour la glorieuse révolution à laquelle demeurent inséparablement unis les noms de Luther et de Calvin. Jamais peut-être le dénigrement et l’injure n’ont été prodigués avec plus de fureur à ces héros de la conscience ; jamais leurs intentions n’ont été plus méconnues, leurs actes plus audacieusement dénaturés. Aux mensonges d’un parti qui ne recule pas devant les plus odieuses calomnies11, opposons le témoignage impartial de l’histoire. Apprenons de la bouche même de ces grands hommes ce qu’ils ont pensé, voulu, poursuivi, et ne cherchons qu’en eux seuls le secret de la révolution dont ils ont été les instruments dans le monde.

La correspondance de Calvin répandra, nous l’espérons, une clarté nouvelle sur ces graves questions que la science digne de ce nom se pose de nos jours avec un besoin de justice et d’impartialité qui l’honore. Ce sentiment, nous osons le dire a été le nôtre dans le cours des longues recherches par lesquelles nous avons préparé la composition du recueil dont nous offrons les premiers volumes au public. Guidé par un seul désir, celui de la vérité, et ne reculant devant aucune révélation, pourvu qu’elle fût contrôlée par des pièces authentiques, nous n’avons négligé aucune source de renseignements, omis aucun témoignage. Notre ambition était de faire revivre Calvin tout entier avec son âme austère et ses persuasions inflexibles, qui n’étaient pas sans indulgence dans le commerce de l’amitié ou dans l’intimité domestique ; avec cette âpre immolation de sa vie au devoir, qui peut seule expliquer sa puissance, et amnistier ses erreurs; avec les infirmités qu’il tenait de son temps et celles qu’il tenait de lui-même. L’histoire interrogée dans les documents originaux, n’est pas un panégyrique. Elle ne jette pas un voile complaisant sur les imperfections de ses héros ; mais elle se souvient qu’ils sont hommes, et puise d’égales leçons dans le spectacle de leur faiblesse et de leur grandeur.

Nous ne saurions terminer cette préface sans offrir l’expression de notre gratitude sincère aux amis qui ont facilité nos recherches, soit en France, soit à l’étranger. Il nous est particulièrement doux de nous rappeler les nombreux témoignages de bienveillance et de sympathie qui nous ont été accordés dans le cours de nos travaux à Genève. Nous avons dû beaucoup à la science éclairée de l’ancien archiviste de la république, M. Sordet, et de son digne collègue, M. Heyer ; nous n’avons pas contracté moins d’obligations envers M. le pasteur Archinard, qui nous a si libéralement ouvert les archives de la Compagnie, et envers les conservateurs de la Bibliothèque, MM. les professeurs Chastel et Privat, qui nous ont communiqué avec tant d’empressement les belles collections manuscrites confiées à leur garde. Enfin, nous avons beaucoup reçu de M. le colonel Henri Tronchin, dont les archives presque royales nous ont livré la plus belle pièce de ce recueil12, les adieux de Calvin aux ministres de Genève et dont le nom s’unit dans nos souvenirs les plus reconnaissants a celui de l’éloquent historien de la Réformation, M. Merle d’Aubigné.

A Paris, nos travaux ont été suivis durant plusieurs années, avec le plus constant intérêt, par plusieurs des membres de l’ancien comité des monuments historiques, MM. Le Bas, Paul Lacroix et de la Villegille ; ils nous ont valu de précieux encouragements de l’homme d’Etat et de l’écrivain illustre que les sciences morales, la politique et les lettres réclament avec le même orgueil, M. Guizot ; en même temps, par un privilége dont nous sentons tout le prix, nous leur avons dû les conseils, la persévérante sollicitude d’un historien non moins célèbre, dont l’influence inspire ou soutient tant de travaux qui trouvent en lui le plus noble protecteur et le plus pur modèle.

En nommant M. Mignet, auquel appartient l’initiative de ce recueil, destiné d’abord à faire partie de la collection des documents inédits de l’histoire nationale, et qu’une bienveillante décision de M. le Ministre de l’instruction publique nous a permis de publier à part, nous en sentons plus vivement les imperfections, et nous éprouvons le besoin de solliciter l’indulgence non pour l’oeuvre de Calvin, mais pour son faible et inhabile interprète.



Notes

1 « Migraturus ad Deum Johannes Calvinus, quum de commodis Ecclesiæ ne tunc quidem cogitare desineret, sua mihi ℵεiμηλiα, id est schedarum ingentem acervum commendavit, ut si quid in iis invenissem quo juvari possent Ecclesise, id quoque in lucem ederetur. » Th. de Bèze à l’Electeur Palatin, 1er février 1575. Lettre qui sert de préface a la Correspondance latine imprimée de Calvin.

2 « Et habenda quoque nobis fuit non modo personarum, verum etiam temporum et locorum ratio. » Lettre déjà citée.

3 « Ad eam rem unius præcipue Caroli Jonvilæi studiosissimi istarum rerum custodis fidem, diligentiam, operam denique operosam et sumptuosam nobis appositissimam fuisse profitemur. » Th. Bezæ admonitio ad lectorem.

4 C’est le recueil intitulé Calvini epistolæ et responsa, quibus interjectæ sunt insignium in Ecclesia Dei virorum aliquot etiam epistolæ, publié pour la première fois en 1575, à Genève, réimprimé l’année suivante à Lausanne, et inséré avec quelques additions dans la collection des OEuvres de Calvin, Calvini opera omnia, T. IX, édit. d’Amsterdam, 1671. Cette dernière édition comprend 284 lettres de Calvin dont 27 traduites du français en latin.

5 Das Leben Calvins, 3 vol. in-8°. Hambourg, 1835, 1842.

6 Johannis Calvini, Bezæ, aliorumque litteræ quædam nondum editæ. 1 vol. in-8°. Lipsiæ, 1835.

7 Histoire de la Réformation en Suisse. 1838. 7 vol. in-8°.

8 Petite Chronique protestante de France, XVIe siècle. 1 vol. in-8°. Paris, 1846.

9 Nous avons le droit de le dire pour la portion la plus considérable de la Correspondance française de Calvin. Il faut excepter toutefois les Lettres de Calvin à Jacques de Bourgogne, seigneur de Falais, publiées en 1741, par le libraire Wetstein à Amsterdam. Elles sont au nombre de 50. Si l’on y joint les lettres publiées intégralement par MM. Henry et Vulliemin, ou insérées par Crespin dans l’Histoire des Martyrs, le nombre des pièces inédites qui figurent dans notre recueil est d’environ 170 sur 278.

10 Guizot, Notice sur Calvin, dans le Musée des Protestants célèbres, T. II, 2e partie.
Mignet, Etablissement de la réforme religieuse et constitution du calvinisme à Genève, dans la nouvelle édition des Mémoires historiques, Paris, 1854.
Charles de Rémusat, De la Réforme et du Protestantisme, à propos du bel ouvrage de M. Merle d’Aubigné, Histoire de la Réformation du XVIe siècle.

11 On peut en juger par les fausses lettres de Calvin à M. du Poët que l’on trouvera réfutées dans l’Appendice de cet ouvrage. Il est d’autres calomnies dont la réfutation trouvera plus naturellement sa place dans l’Histoire même de Calvin.

12 T, II, p. 573-579.


 

Source

Calvin, Jean (1509-1564) Auteur du texte. 1854. Lettres de Jean Calvin : Lettres Françaises. T. 1 / Recueillies Pour La Première Fois et Publ. d’après Les Ms. Originaux Par Jules Bonnet. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k209248w.